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The Posies

14 septembre 2010

http://millemoimem.com

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18 août 2010

http://latenightfun.ek.la

17 mai 2010

Quel siècle est-il à ta montre? As-tu seulement

Quel siècle est-il à ta montre? As-tu seulement vu passer mon absence et mes monstres ?

Je bois un crozes hermitages 2006. Parce que c'est lundi soir, je suis fatiguée. Révélations désespérantes sur mon prétendu avenir. Je vais me bruler dans une crique secrète, et j'ai vu la mer m'engloutir encore. Le soleil de plomb m'écrase comme si je n'existais pas, et à cet instant là, je n'existe plus. Je profite de quelques notes de guitare, de plaisir simple. Une crèpe au nutella et aux fraises. Ma vie est remplie de bonheurs factices qui occpent mon cerveau jusqu'a ce qu'il reprenne le service. Mes démons sont de retour. Mon démon, mon fantôme, mon obsession. I still recall the taste of your tears. Echoing your voice just like the ringing in my ears. Je ne ferai rien. Je vais me laisser faire, je vais sombrer. Dans le non être, en sachant que je connaîtrais toujours l'issue. 
Et probablement au détour d'une millième ivresse démesurée, savoir pour quoi, pour qui je dois me battre. Mais qui est ce que je vais sauver ? I'm down to just one thing. And i'm starting to scare myself. Le manque est un sentiment qui peut rendre fou. Je le constate. Je deviens folle sans mon âme.

14 mai 2010

Presque un an après, me revoilà. Je parlais

Presque un an après, me revoilà. Je parlais d'indépendance, de permis, de solitude. 

Ben en fait j'avais pas tout à fait tort. 
Pour faire un petit résumé simple et facile cette année écoulée : j'ai eut mon bac sans mention malgré les 14 de moyennes trimestrielles. J'ai loupé mon permis. J'habite en colocation. J'ai un chéri, un vrai. J'ai bossé déjà démissioné, et déjà retrouvé un boulot malgré la galère.

Le bac sans mention aujourd'hui je m'en contre-fiche bien. Ce qui est important, c'est que ça l'ai été le jour J. Après on en parle même plus. 
Le permis c'était le seul fake. Je l'ai passé à l'arache, loupé littéralement et aujourd'hui j'ai plus du tout les moyens de me le repayer. Alors ça va attendre.
La collocation c'était sympa mais un an seulement merci bonsoir. J'avais une collocatrice américaine géniale, mais un peu cracra. Et mon colloc' est carrément cracra + défoncé all day long. Donc dès juillet ce sera studio en solo. HAPPY FACE.
Le chéri ça fait 10 mois qu'on est ensemble et c'est toujours le grand amour. Il m'aime je l'aime. J'appréhende juste son voyage au Mali. Parce qu'on ne s'est jamais séparer plus de deux semaines et puis surtout on sera pas tous les deux pour nos un an.
Et enfin le boulot. Ben je bossais dans une boite ou rien n'allait, parce que c'était loin, les gens n'était vraiment, vraiment pas cool. Et puis j'ai démissioné, et trouvé une super place à 15min à pied de chez moi avec un ingé super sympa et vraiment pro. 

On verra ce que la suite me réserve.

12 mai 2009

Je vous ai apporté des bonbons...

Je ne vais pas épiloguer, je ne peux pas partir d'ici.

J'ai été prise là ou je voulais aller pour l'année prochaine. Voilà, je vais partir, je vais faire le grand saut. Vivre seule, avoir le permis, travailler, étudier, voyager. Tout ça m'attend. Bien sur je ne verrai pas autant les copains, mais ça ne me fait pas peur. Seules Coline et Juliette me manqueront beaucoup je pense. Ce sont elles qui sont les plus présentes dans ma vie.

Je suis excitée et effrayée à la fois. Je ne sais pas trop comment je me sens. J'ai hâte de partir, et j'ai peur de ne pas savoir gérer la distance, la solitude, le travail. Mais j'ai confiance j'y arriverais à force.

Je vous laisse sur une note de brel.

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11 mai 2009

trente huit*

Peut être que je ne mourrais pas, cette fois encore. Mais le processus d'auto-destruction s'est remis en marche hier soir, toujours le même, le plus accessible, le moins douloureux en surface, parce que la blessure est intérieure.

Si je ne me laisse pas couler, si je refuse de toucher le fond c'est parce qu'il n'y aura personne pour m'attraper la main et me sauver.

Celui qui osera m'aimer devra avoir les épaules plus solides que moi pour supporter l'amas de frustration que j'ai en moi.

10 mai 2009

trente sept*

Je sais que j'ai beaucoup de retard sur la plus part des fans de the L word parce que j'ai découvert cette série tard. J'ai avalé six saisons en 5 ou 6 semaines. J'ai passé des nuits blanches à ne plus pouvoir m'arrêter d'enfiler les épisodes. Je crois que c'est la seule série qui de toute ma vie de sériovore m'a vraiment perturbé. Chaque personnage est attachant, et je n'arrive pas à croire que Tom ne reviendra pas, que Bette & Tina parte à New York que Shane ne se remette pas avec Molly ou Carmen, que Dana est partie... Je n'en reviens pas que l'histoire s'arrête là. J'ai eut l'impression pendant toutes ses saisons d'être une de leurs amies et c'est comme si brutalement je mourrais. Je veux dire, c'est vrai toutes ses histoires, c'était tellement réelle, tellement puissant, tellement embarrassant parfois, beau souvent. Je veux dire, c'est tellement cruel. J'ai l'impression que ça ne peut pas se terminer comme ça. C'est comme une énorme rupture avec l'amour de ma vie. Je veux dire, j'ai tellement souffert, pleuré, ris, souris, compatis, eut pitié... que je peux pas m'imaginer que cette série est terminer. Vraiment, il va falloir que je fasse un deuil. Cette série est la meilleure série du monde et même friends n'est rien à côté de cette série là.

Je paraît peut être folle, ou trop fleur bleue, mais réellement cette série à changer ma façon de voir les choses, et ses filles vont me manquer...

9 mai 2009

trente six*

Même petite, je vivais mes amitiés de cette manière-là. Comme des amours. Avec passion et larmes à la clef. Mes "meilleures copines" et moi nous déchirions quotidiennement, nous jurant une haine éternelle, la fin de cet amour si fort, si pur. Et puis ça passait, on se retrouvait dans un coin de la cour ou dans nos chambre, on se chuchotait des « tu m’as manqué », on s'offrait des bracelets tressés et on mélangeait nos sang, on s'aimait de nouveau. Les ruptures étaient toujours provoquées par des broutilles. Tu ne m'as pas gardé de place à côté de toi au labo d'svt/ à la cantine... tu as écrit un mot dans l'agenda de Machine et pas dans le mien... Tu ne m'as pas attendue à la sortie des cours... Elles étaient comme moi, mes copines. Aussi entières et passionnées, et possessives, et jalouses. On était des petites amoureuses en devenir.
On se testait pour l'avenir.
Quand je rentrais chez moi le soir, malheureuse, le coeur en petits morceaux, et que je hurlais à mesparents "avec Chloé, cette fois c'est vraiment fini, je la hais, je la haaaaaaaiiiiiiiis", mon père me regardait, magnanime, et tel un vieux sage bouddhiste il délivrait toujours la même phrase. Tu sais, la haine est proche de l'amour...

Well. Daddy was right.

8 mai 2009

trente cinq*

8 mai 2009

trente quatre*

je suis en mode découverte alors, je fais partager :

- ultimex un blog dessin avec beaucoup d'humour (en tout cas un humour que j'adore)
- fabrixcases propose de super "pochettes" pour iphone, macbook & appareils photo.
- graffiti art magazine le site qui me fait regretter tous les jours de ne pas habiter paris..
- raphael saadiq juste parfait. je ne me souviens plus comment je suis tombée dessus (surement grace à la blogo)
- jamesvimeo des videos très troublantes, le plaisir des yeux.

HS_MAT_Jamie01_006

photo (c) Hedi Slimane

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